A chaque intersection, croisement, dans tous les coins et recoins de Dakar, tu vois ces p’tits mioches, morveux, des lambeaux de tissu sales et poussiéreux les protégeant à peine du froid, des gamins de quatre, cinq, six ans, rarement plus, te tendre la main pour une aumône, le regard gris et vieux de ceux qui ont déjà tout vu, tout vécu. Continuer la lecture de « LES ENFANTS DE LA RUE »